Comment faire une bonne sodomie en douceur et sans douleur

La sodomie est une pratique plus courante qu’on ne peut le penser. Malheureusement, elle a mauvaise réputation et est parfois utilisée uniquement pour définir une sexualité déviante. Pourtant, la sodomie concerne tout le monde, femme et hommes, hétérosexuels et homo. Il s’agit finalement d’une position comme les autres, mais qui souffre d’une mauvaise image, notamment parce qu’elle est souvent associée à la douleur. Si votre partenaire ne souhaite pas que vous la preniez de cette façon, il existe cependant des moyens de la faire changer d’avis. En vous y connaissant un peu mieux en anatomie, en en parlant sereinement avec elle et en faisant bien les choses, une sodomie peut procurer autant de plaisir à celle qui la reçoit qu’à celui qui la donne. Alors comment faire une bonne sodomie ? Suivez nos conseils.

Sommaire

En parler avant l’acte : comment lui faire changer d’avis ?

Si vous tenez à essayer la sodomie avec votre partenaire, il y a une chose que vous ne devez absolument pas faire. En effet, le pire conseil que l’on pourrait vous donner et d’essayer sans la prévenir. Vous risquez de la braquer à ce sujet. Et une fois qu’elle vous aura dit non, il sera encore plus difficile de la faire changer d’avis. Ne faites pas l’étonné : la sodomie n’est pas une pratique courante pour de nombreuses filles. Beaucoup l’associent à des pratiques sexuelles déviantes, à la douleur, et surtout à une absence de plaisir pour celle qui la reçoit. 

Pour éviter les frictions au lit, et en dehors, la première chose à faire est d’en parler. Bien sûr, il y a des moments pour amener le sujet de la sodomie sur la table, et un repas de famille ne sera certainement pas l’un de ceux là. Mais pendant que vous vous chauffez autour d’une bouteille de vin ou durant vos préliminaires, vous pouvez tout à fait sonder votre partenaire sur la question. Demandez-lui si elle a déjà essayé. Ce qu’elle en pense et si elle se sentirait à l’aise de sauter le pas avec vous. C’est un bon moyen de savoir quelle est sa position sur ce sujet. Si elle oppose un refus catégorique, rien ne sert d’insister sur le moment. Mieux vaut en reparler plus tard.

Si votre partenaire n’est pas chaude pour tenter la sodomie, la meilleure stratégie est de vous montrer pédagogique. Faites-lui comprendre que cette position peut être jouissive aussi pour elle. Mais surtout qu’il existe des astuces pour qu’elle ne souffre pas. Mettez-la en confiance et faites-lui comprendre que vous voulez essayer pour vous deux, et non pour votre seul plaisir. Pour faire une bonne sodomie, les deux partenaires doivent en avoir envie. Faites-lui comprendre que si elle ne le veut pas du tout, vous n’insisterez pas. Puis laissez-la y réfléchir, elle changera d’avis toute seule.

Conseils sodomie

 

Petite leçon d’anatomie pour faire une bonne sodomie

Si vous voulez faire une bonne sodomie, et surtout donner du plaisir à votre partenaire, vous devez en connaitre un peu plus sur son anatomie. L’anus est composé de deux muscles puissants : les sphincters. Ce sont ces deux muscles qui permettent de contrôler la sortie de notre tube digestif. Attention par contre, car si vous pouvez contrôler le sphincter externe, la partie interne de ce muscle répond de façon automatique aux stimuli.

Le fait que votre partenaire ne puisse pas le contrôler explique que certaines sodomies soient douloureuses. Pour lui permettre de se décontracter, et rendre les choses beaucoup plus fluides et agréables, votre copine doit être dans un total lacher prise. C’est donc sa tête qui lui permettra de contrôler son corps. Et pour qu’elle prenne son pied, elle doit être en confiance et parfaitement détendue.

L’anus est un orifice qui est très réactif aux sensations, car il est composé d’un nombre incalculable de nerfs. C’est ce qui fait toute la différence entre une pénétration vaginale et la pénétration anale, pendant laquelle votre partenaire aura une sensibilité beaucoup plus forte. Vous devez garder cela à l’esprit quand vous pénétrerez votre partenaire. Si vous voulez que l’expérience soit aussi jouissive pour elle, et éventuellement recommencer, allez-y en douceur.

Comment l’amener à accepter la sodomie pendant vos rapports ?

On l’a déjà dit, la pire chose que vous pourriez faire est de surprendre votre partenaire en la prenant par le « mauvais » orifice. Pourtant, même si vous en avez déjà parlé, vous devez amener les choses de façon subtile et progressive pour lui faire une bonne sodomie. Pour dédramatiser cette pratique, et lui retirer le caractère déviant qu’elle peut revêtir pour votre copine, la bonne chose à faire est de vous montrer tendre. Soyez plus prévenant et doux que vous ne le seriez pour une pénétration vaginale afin de la mettre à l’aise, mais aussi de l’exciter.

tester la sodomie

Dans le meilleur des cas, c’est elle qui doit vous signaler qu’elle est prête à essayer. Pistez ces cambrures, la position qu’elle prend au lit : ce sont généralement les signes que c’est le bon moment pour passer à l’acte. Si votre partenaire a la sensation que c’est elle qui contrôle votre rapport et décide ou non de faire une sodomie, elle sera beaucoup plus à l’aise, et prendra beaucoup plus de plaisir. Ce qui est quand même le but de la chose.

Un autre conseil très important que vous devez retenir est l’importance des préliminaires pour faire une bonne sodomie. Pour toute pratique sexuelle, ces dernière sont indispensables. Mais c’est encore plus le cas avant de pénétrer votre copine par l’anus. Au delà des préliminaires classiques avant l’acte (cunninlingus, baisers et caresses), essayez de stimuler son orifice avant de la pénétrer. Vous pouvez par exemple lui glisser un doigt pour amener les choses de façon plus progressive pendant l’acte. L’anulingus est également recommandé pour stimuler cette zone de son corps et l’aider à se détendre. Si vous n’êtes pas prêt à tester ces pratiques, c’est que peut-être que vous-même n’êtes pas prêt à passer à la sodomie.

Eviter la douleur pendant une sodomie

On l’a déjà vu, la première chose à comprendre pour qu’une sodomie se fasse sans douleur est de se détendre. Mesdames, il est donc important que vous vous détendiez et relâchiez vos sphincters. Vous devez donc avoir confiance en votre partenaire. Du côté de celui qui donne, il est aussi primordial de préparer votre copine à l’acte. N’hésitez pas à lui mettre un ou deux doigts dans l’anus avant de la pénétrer. Cela lui permettra de se préparer et d’aller plus en douceur jusqu’à l’acte.

Le lubrifiant est également votre meilleur ami pour faire une bonne sodomie. Vous pouvez utiliser un lubrifiant anal, qui sera votre meilleur choix pour que la pénétration se fasse en douceur. Si vous n’en trouvez pas, vous pouvez également utiliser un lubrifiant classique au silicone. N’ayez pas peur de trop en mettre, car mieux vaut y aller généreusement, surtout si c’est la première fois pour votre partenaire.

 Un autre conseil qui peut paraitre contre-intuitif (et qui explique que beaucoup de femmes boudent la sodomie) est qu’il faut pousser. Votre anus aura tendance à se contracter (une réaction automatique des muscles du sphincter). Pour éviter la douleur, il est préférable que vous poussiez (comme si vous alliez aux toilettes) afin de faciliter la pénétration et prendre plus de plaisir.

Dernière chose pour éviter les déchirures qui peuvent se produire si vous avez l’anus fragile (ou s’il s’agit d’une première fois) : soyez doux. Il est bien important que vous compreniez que la pénétration vaginale et anale sont deux choses différentes, et que si vous aimez vous montrer violent ou plus bestial pour la première, ça ne sera pas toujours possible pour faire une bonne sodomie. Pour éviter la douleur, certaines positions sont à privilégier. Plutôt que de rester en levrette, essayez de vous accroupir sur le sexe de votre homme. Vous contrôlerez plus l’acte (ce qui est super excitant), et pourrez aussi gérer le rythme du coit, et ainsi éviter les douleurs.

comment faire une bonne sodomie

 

Faut-il faire un lavement avant une sodomie ?

La sodomie n’étant évidemment pas encore une pratique aussi banalisée que la pénétration vaginale, elle ne se fera pas par surprise, et vous aurez donc la possibilité de vous y préparer. Pour gérer l’après et rester dans le plaisir charnel (et non le changement des draps), il est donc conseillé pour la femme de réaliser un lavement avant une pénétration anale. Il vous suffit d’acheter une poire anale, qui comporte généralement plus d’eau qu’une poire vaginale et a un embout plus large. Pour bien effectuer votre lavement, il faut penser à faire couler l’eau dans le lavabo avant d’en remplir votre poire; Le but est que l’eau soit tiède, voir légèrement froide. Car une eau trop chaude peut vous faire mal et briser toutes vos envies d’essayer la sodomie.

Après avoir rempli votre poire anale avec de l’eau, vous pouvez utiliser le lubrifiant autour de votre anus et de l’embout de la poire. Allez-y généreusement pour ne pas vous iritier. Puis poussez l’eau tiède à l’intérieur de votre sphincter en appuyant sur la poire. Répétez à plusieurs reprises avant d’évacuer l’eau dans les toilettes. Si cette phase de préparation peut ne pas vous sembler très glamour, elle vous permettra de ne pas avoir à penser aux éventuels dérapages pendant l’acte. Vous aurez plus confiance en vous et pourrez profiter pleinement de cette nouvelle position avec votre partenaire.

Comment se comporter après une sodomie

Si on pense beaucoup aux préliminaires avant une quelquonque pratique sexuelle, on oublie de gérer l’après, qui est tout aussi important. Préparez-vous déjà à la fin de la pénétration. Le canal de l’anus de votre partenaire devrait se rétracter lentement et vous pousser naturellement vers la sortie. Considérez également que la fin de l’acte peut être plus douloureux que la pénétration en elle-même. La zone sera toujours sensible, malgré la fin de l’acte. Donc ne sortez pas immédiatement et attendez que votre partenaire vous invite à le faire.

Deuxième conseil, essayez de dédramatiser la fin de la sodomie, et notamment en vous débarrassant des preuves. Vous risquez de retrouver des résidus sur votre préservatif. C’est naturel et cela n’a rien de dramatique. Mieux vaut y être préparé. Mais la pire chose à faire serait de vous en formaliser ou d’en faire la remarque à votre copine. Vous risquez de la braquer et de la mettre mal à l’aise. Dans tous les cas, elle pourrait refuser de réessayer, même si cette position lui a procuré du plaisir. Ce qui est dommage.

Une autre bonne façon de dédramatiser la sodomie est de garder vos petites habitudes après vos rapports. Au delà des résidus sur votre préservatif ou votre sexe, votre copine peut aussi avoir des « trous d’air ». Ne faites pas comme si rien ne s’était passé, mais soyez encore plus attentionné avec elle. Mettez-la à l’aise et insistez sur le plaisir qu’elle vous a donné en acceptant la sodomie. Pensez à en parler, et à recommencer si cette position vous a plus à toutes les deux. N’attendez pas trop pour retenter la sodomie, afin de banaliser cette pratique. Mais ne vous attendez pas non plus à ce qu’elle remplace systématiquement la pénétration vaginale. Soyez patient, tenez compte des préférences de votre copine. Et n’oubliez pas que pour faire une bonne sodomie, le plus important est surtout de vous assurer qu’elle en ait envie !

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